Cette discipline s’appuie sur l’étude des charbons de bois anciens, retrouvés principalement en contexte archéologique (archéo-anthracologie).
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Processus de modification de l’environnement par les activités humaines.
Etude des restes d’ossements animaux afin de préciser les relations entre les groupes humains et la faune (sauvage ou domestique) qu’ils exploitaient.
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Observation des couches du sol, de la morphologie des paysages et l’analyse en laboratoire, des prélèvements de sol.
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Période géologique qui correspond à l’interglaciaire actuel et fait suite à la dernière glaciation (environ il y’a 12 000 ans jusqu’à nos jours, c’est-à-dire depuis le Mésolithique).
Etude des grains de pollen des plantes conservées dans le remplissage de sites archéologiques ou, le plus souvent, dans des contextes humides hors des sites archéologiques comme les lacs, les tourbières et les berges.
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fait référence aux environnements anciens, qu’ils soient historiques ou préhistoriques.
Renvoie aux conditions de température, d'humidité et d'aération d’un sol qui affectent les plantes et les animaux hébergés.
Période géologique qui correspond aux grandes glaciations vécues par les communautés humaines (environ de – 2,5 millions d’années à – 12 000 ans avant le présent). Elle recouvre globalement le Paléolithique.
Période archéologique correspondant aux civilisations qui ne possèdent pas encore l’écriture mentionnées dans les écrits de civilisations contemporaines. Dans notre cas cette période renvoie à l’âge du Bronze et l’âge du Fer.
Niveau de classification des animaux et des plantes. Par exemple, l’être humain actuel appartient à l’espèce Homo sapiens, au genre Homo et à la famille des Homonidés. Chacun de ces rangs d’identification est un taxon.